Production écrite : Aider une vieille dame dans le bus

Production écrite : Aider une vieille dame dans le bus

Production écrite : Aider une vieille dame dans le bus – 4 récits d’élèves à découvrir

"Aider une vieille dame dans le bus" est parfait pour un exercice de production écrite. Il permet aux élèves d’exprimer des émotions, de raconter une scène précise, et de réfléchir à leurs comportements face à des situations de la vie réelle. Tu trouveras dans cet article quatre récits narratifs racontés par des élèves, inspirés de faits vécus ou imaginés. Chaque texte met en valeur les valeurs de gentillesse, de respect des anciens et de civisme.

Prendre les transports en commun fait partie du quotidien de millions de personnes, jeunes ou âgées. Dans ce contexte, il arrive parfois que certaines personnes aient besoin d’aide : porter un sac, s’asseoir, ou simplement monter dans le bus. Aider une vieille dame dans le bus, c’est un petit geste, mais un grand acte de respect et de solidarité.

Production écrite n°1 : Un siège pour elle

Ce matin-là, le bus était plein. Comme d’habitude, j’étais debout, mon sac sur le dos, en train d’écouter de la musique. À l’arrêt suivant, une vieille dame est montée. Elle avait les cheveux blancs, une canne à la main, et un sac de courses qui semblait lourd.

Je l’ai vue chercher un siège du regard, mais tout était occupé. Sans réfléchir, je me suis levé et je lui ai dit : « Madame, asseyez-vous ici. » Elle m’a regardé, un peu surprise, puis m’a souri avec tendresse : « Merci, mon garçon. Tu as été bien élevé. »

Tout le trajet, elle est restée silencieuse, mais son sourire ne m’a pas quitté. Avant de descendre, elle m’a tapé doucement la main : « Merci encore. » Ce jour-là, j’ai compris que la politesse n’est pas une règle scolaire, c’est un acte de cœur. Et parfois, un simple geste peut illuminer la journée de quelqu’un.

Production écrite n°2 : Une montée difficile

Un après-midi d’hiver, alors que je rentrais du collège, le bus s’est arrêté près du marché. Une vieille dame est montée avec difficulté. Elle montait les marches lentement, s’accrochant à la rampe, mais son panier menaçait de tomber.

Je me suis précipité pour l’aider. Je lui ai pris son sac, je l’ai soutenue doucement par le bras, et je lui ai trouvé une place libre. « C’est gentil, mon petit », m’a-t-elle dit avec un soupir de soulagement. J’ai attendu qu’elle soit bien installée, puis je suis resté debout à côté d’elle, prêt à l’aider si besoin.

Le conducteur m’a même lancé un regard approbateur dans le rétroviseur. À cet instant, j’étais fier. Fier d’avoir fait quelque chose de bien, sans y être obligé. Parfois, dans un bus bruyant, un peu de douceur fait toute la différence.

Production écrite n°3 : Un parapluie, un bras, et un sourire

Il pleuvait fort ce jour-là, et j’attendais le bus sous mon parapluie. Une vieille dame, toute mouillée, est arrivée à l’arrêt. Elle n’avait rien pour se couvrir. Je me suis avancé : « Vous pouvez venir sous mon parapluie, madame. » Elle m’a remercié timidement.

Quand le bus est arrivé, je l’ai aidée à monter. Le sol était glissant, et elle tremblait. Je lui ai offert mon bras pour ne pas qu’elle tombe, et je l’ai accompagnée jusqu’à un siège vide. Tout le monde regardait, mais personne ne disait rien. Pourtant, je sentais que ce petit geste comptait.

Avant de descendre, elle a glissé dans ma main une petite image pieuse, comme un porte-bonheur. « Pour te protéger, toi aussi », m’a-t-elle dit. Ce moment est resté gravé dans ma mémoire. J’avais seulement partagé un parapluie et offert un bras. Mais j’avais aussi reçu un sourire, un merci, et une belle leçon d’humanité.

Production écrite n°4 : Le sac trop lourd

Le vendredi, je prends toujours le bus de 16h. Ce jour-là, une vieille dame est montée avec deux grands sacs. Elle peinait à avancer dans l’allée étroite. Les gens la regardaient, mais personne ne bougeait. Je me suis levé sans réfléchir.

Je lui ai proposé mon aide et j’ai pris ses sacs. Elle m’a souri, soulagée, et m’a dit qu’elle revenait du marché. Une fois assise, elle m’a parlé de ses petits-enfants, de sa maison, de ses souvenirs. Le trajet a duré vingt minutes, mais j’ai eu l’impression de voyager dans le temps.

Quand elle est descendue, je l’ai accompagnée jusqu’au trottoir. Elle m’a remercié encore et encore. Je suis remonté dans le bus, un peu trempé, mais le cœur léger. Ce n’était pas une corvée. C’était une rencontre. Et parfois, une simple aide dans un bus devient une vraie belle histoire.

Conclusion

Ces quatre productions écrites montrent qu’un petit geste envers une vieille dame peut transformer un moment banal en souvenir précieux. Être attentif, se lever, tendre la main… autant d’actions simples qui renforcent le lien entre les générations. Toi aussi, tu peux raconter une histoire de solidarité dans les transports ou ailleurs. D’autres exemples t’attendent sur production-ecrite.com pour t’aider à écrire avec ton cœur et ton style.

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